Le 18/10/2013

    Le  18 Octobre 2013  

 

 

     La première fois que je me rendis aux essayages du Conseil Général il me

manquait un PARKA, je le dis à mon gestionnaire pourtant rien n’y fait.

La seconde fois je n’ai eu qu’une paire de chaussure, parce que je suis

arrivé trop tard, mon gestionnaire m’ayant fait part des essayages qu’après

tout le monde.

Cette année il m’en parla suffisamment tôt. Le jour arrivé vers 8h45 nous

étions au niveau de la cuisine, je lui rappelai que c’était le jour et que je partirai

aux environ de 10h30. Quand arriva l’heure je suis allé à l’administration et plus

précisément dans son bureau pour le prévenir de mon départ et aussi à sa

secrétaire Mme DAULCLE.

Aujourd’hui ni l’un ni l’autre ne reconnait que je les ai prévenu de mon

départ.

Mr Guillaume LAPIZE DE SALEE vous êtes actuellement Gestionnaire du

Collège du Parc de Suçy en Brie, prenez vos responsabilité, n’entrez pas dans

les magouilles de Mme ZERROUKI, car elle, elle s’en va vers la retraite, tous

les agents qui l’ont côtoyé savent qui elle est, vous, vous entrez dans la

profession, ne me poussez pas à faire votre publicité dans les 104 collèges du

Val de Marne, au Rectorat et à l’Inspection Académique, car cela plombera

vos futurs mutations, soyez honnêtes, dites la vérité à ce sujet car nous en

avons parlé tous les deux.

Dénoncez ce qui se passe au niveau des logements de fonction, en tant que

Gestionnaire vous le savez pertinemment, car vous devriez savoir les lois qui

régissent les logements de fonction, d’où, tout est fait pour couvrir les

agissements de la  Gardienne afin qu’elle ne parle pas. Elle en sait trop.

N’est ce pas ?

En ce qui concerne les autres choses je les gardes pour cette bande de

menteurs qui trônent au sein de la Direction des Collèges, qui se liguent

et fomentent pour abattre l’agent que je suis, car je dis la vérité.

Ils auraient voulu que je sois un pion où un mouton mais ce n’est pas possible.

Cette bande de vampires qui ne se regardent pas dans les miroirs de peur

d’y voir leurs crocs.

                                           Je m’en charge.