Licenciement

  J’ai encore pas mal de chose à mettre pour vous, mais parlons un peu de mon

licenciement.

 

Le  04/10/2013 vers 14h20 quatre « mangoustes tiff » : Daniel  GROSSAIN

                                                                                      Jérôme PECH

                                                                                      Nathalie BOUCHERON

                                                                                      Sandrine QUILLERY

Sont venus au Collège du Parc me porter une lettre de licenciement sans

indemnités que je n’ai même pas touché.

Peut être se sont ils torchés le « Q » avec, mais une chose est sur je ne l’ai pas

pris.

Ce licenciement prenait effet le 06/10/2013

               - Plus de 2 mois après les faits reprochés

               - Sans préavis

               - Sans entretien préalable

               - Sans entretien disciplinaire

               - Sans mis à pied conservatoire

Quand j’ai reçu l’attestation d’employeur j’ai vu marqué simplement « Faute ».

Faute grave ou Faute lourde ?

Faute lourde, je n’ai pas dois à des indemnités.

Faute grave, j’ai dois à des indemnités

Or, sur l’arrêté portant sanction disciplinaire, je ne vois aucune faute lourde.

Ces handicapés mentaux, comme d’habitude, ont essayés de faire sortir mes

propos de leur contexte. Vu qu’ils sont habitués à manipuler stylo et paperasse.

Lisez tous mes courriers et main courantes et voyez vous-même ou vous trouvez

une faute lourde.

De plus ces abrutis  le 27/08/2013 jour ou ils m’ont convoqué à 16h et que je ne

suis pas allé étant donné que je finissais à 14h. Donc en dehors de mes heures

de travail.

On dit pas mal de mensonges à mon égard et que j’avais déjà même éssayé

d’étrangler quelqu’un.

Chose que je n’ai jamais encore fait de ma vie.

C’est la Principale elle-même Mme ZERROUKI qui me raconta tout cela le

lendemain.

Elle était étonnée, elle était abasourdie par tout ce qu’elle avait entendu.

Pendant tout ce temps que j’ai travaillé sous ses ordres elle ne m’a jamais vu

comme j’ai été décrit par ces ratons laveurs.

D’ailleurs tout de suite, dans la minute qui suivi, j’en ai fait part à mes

collègues.

C’était trop grave.

Voyez de quelle bassesse intellectuelle joui cette bande de tarée.

Pour m’éjecter du Conseil Général, ils se liguent et fomentent.

Sincèrement, croyez vous qu’ils sont à leur place ?

Avec moi, la bataille ne fait que commencer.

Dire la vérité n'est pas un délit.

Ils avaient qu'à être honnête dans leurs décisions.